Gauche : Portrait de Julien Creuzet © Virginie Ribaut. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et High Art. Droite : Julien Creuzet, Les Possédées de Pigalle ou la Tragédie du Roi Christophe, 2023. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et High Art.
Gauche : Portrait de Julien Creuzet © Virginie Ribaut. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et High Art. Droite : Julien Creuzet, Les Possédées de Pigalle ou la Tragédie du Roi Christophe, 2023. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et High Art.
Minia Biabiany, Musa Nuit, La Verrière, 2020. © Isabelle Arthuis. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Minia Biabiany, Musa Nuit, La Verrière, 2020. © Isabelle Arthuis. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Gauche : Gaëlle Choisne, Carte de l’aigle de cœur, 2021-2023. © Aurélien Mole. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et Air de Paris. Droite : Portrait de Gaëlle Choisne, 2023. Photographie de Marion Berrin pour Paris+ par Art Basel.
Gauche : Gaëlle Choisne, Carte de l’aigle de cœur, 2021-2023. © Aurélien Mole. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et Air de Paris. Droite : Portrait de Gaëlle Choisne, 2023. Photographie de Marion Berrin pour Paris+ par Art Basel.
Vue de l’exposition Christelle Oyiri-K, « Gentle Battle » à Tramway, 2022. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Vue de l’exposition Christelle Oyiri-K, « Gentle Battle » à Tramway, 2022. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Vue de l’exposition Christelle Oyiri-K, « Gentle Battle » à Tramway, 2022. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Vue de l’exposition Christelle Oyiri-K, « Gentle Battle » à Tramway, 2022. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Minia Bibiany, J’ai tué le papillon dans mon oreille, 2021. © Marc Doradzillo. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Minia Bibiany, J’ai tué le papillon dans mon oreille, 2021. © Marc Doradzillo. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Minia Bibiany, Qui vivra verra, qui mourra saura (Who will live will see, who will die will know), 2019. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Minia Bibiany, Qui vivra verra, qui mourra saura (Who will live will see, who will die will know), 2019. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.

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